38 – Quels conseils pourriez-vous donner à quelqu’un qui cherche un rattachement ? (M.A.S.)

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بسم الله الرحمن الرحيم الحمد لله والصلاة والسلام على سيدنا محمد رسول الله وآله وصحبه ومن والاه

Cette question est certainement l’une des plus importantes et qui conditionne bien des choses dans la manière dont on aborde la Voie, au moins dans ses premiers stades. On se rend compte que peu de personnes la posent pourtant. Il est vrai que les situations sont multiples, certainement autant que le sont les êtres qui se trouvent « à la porte », conformément à l’adage : « les chemins vers Allah sont aussi nombreux que les fils d’Adam ».

C’est la raison pour laquelle on ne peut envisager à ce sujet que des généralités, chaque cas devant être apprécié selon les particularités qui lui sont propres. Il est néanmoins possible de donner les quelques conseils suivants à celui qui cherche à se rattacher à une Voie spirituelle régulière (tarîqah)  dans la perspective de chercher à y accomplir une réalisation effective (sulûk) :

  • Constater et/ou vérifier (directement ou indirectement) que la tarîqah concernée respecte les dispositions de la Charî’ah, c’est-à-dire qu’elle est régulière sous le critère exotérique
  • Chercher en priorité ce qui, dans le rattachement, est impersonnel, à savoir et en premier lieu, la transmission de l’influence spirituelle (barakah) en veillant à confirmer l’existence d’une autorisation nominale généralement incontestée (idhn, ijâzah) qui rend régulière la transmission de la barakah
  • Apprécier de toutes les manières possibles la nature des « moyens initiatiques secondaires » et les affinités personnelles que l’on peut avoir avec ceux-ci. Au sens dans lequel l’utilise René Guénon, cette expression désigne l’ensemble des rites et supports rituels en usage dans une tarîqah qui ont pour but de développer l’action de la barakah à partir du centre de l’être qui en est le dépositaire, c’est-à-dire principalement les pratiques rituelles initiatiques mais aussi les enseignements de diverses natures qui peuvent être prodigués dans ce cadre, quel que soit le degré de maîtrise et de conscience de celui ou de ceux qui les dispensent.
  • Être attentif aux conditions d’environnement et de proximité ou d’éloignement géographique susceptibles de rendre plus ou moins favorables le développement d’un certain nombre de pratiques initiatiques importantes et courantes (rites collectifs, enseignement).
  • Apprécier la nature et la qualité des rapports des membres de la tarîqah entre eux et des rapports qu’ils établissent et entretiennent avec le cheikh et/ou son ou ses représentants (moqaddem).
  • Concernant le choix de la tarîqah : s’orienter de préférence vers une tarîqah connue et la plus sérieuse possible sous l’ensemble des critères déjà évoqués précédemment.
  • Concernant la recherche d’un Maître : elle est toujours possible et envisageable une fois la transmission de la barakah effectuée (rattachement « tabarrukan« ). Ne pas considérer que la conclusion d’un pacte personnel avec un Maître est strictement nécessaire pour obtenir un rattachement régulier et pour mettre en œuvre l’ensemble des pratiques et dispositions permises aux membres d’une tarîqah qui ne sont pas rattachés personnellement à un Cheikh dans un rapport d’irchâd. Sauf dans le cas où celui qui procède au rattachement exige cette reconnaissance personnelle, c’est-à-dire la reconnaissance de sa réalisation spirituelle propre, comme condition au rattachement, il est possible d’obtenir un rattachement qui ne consiste essentiellement qu’en la transmission de la barakah, la recherche et la reconnaissance éventuelles d’un Cheikh d’enseignement (tarbiyah, irchâd) pouvant avoir lieu secondairement.
  • Concernant les pratiques initiatiques : il y a lieu de les considérer sous au moins deux rapports. Le premier concerne, si l’on peut dire, les caractéristiques qui les définissent comme telles et, en quelque sorte, en elles-mêmes : chercher de préférence une tarîqah dont les modalités d’exécution des rites (notamment de dhikr) soient les plus universelles possibles, cette précaution étant principalement destinée à ne pas engager l’être de manière trop spécifique dans des modalités qu’il aurait peut-être quelques difficultés à quitter dans le cas où une évolution ultérieure lui serait nécessaire. Le second rapport est celui qui concerne proprement le développement de l’activité initiatique que celui qui est ainsi rattaché est susceptible d’exercer : il semble important de préciser à ce sujet que même l’accès le plus minimal à l’initiation (par la seule transmission de la barakah) donne, en général et habituellement1, la possibilité de mettre en œuvre un nombre relativement important de rites et de pratiques sans qu’il soit pour cela nécessaire de parler d’un quelconque rapport d’irchâd individuel ; cet effort initial constitue une première étape importante et, dans le cas habituel, un préalable qu’il semble bien convenir de respecter si l’on veut envisager avec réalisme quoi que ce soit d’autre de manière plus effective dans la Voie.
  • Concernant l’enseignement doctrinal général : idem.
  • Concernant la méthode initiatique : idem.

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La position que nous présentons ici est initialement fondée (sans considérer ce qui est de l’ordre de l’expérience proprement personnelle) sur l’œuvre de René Guénon 2 puis, comme autant d’illustrations, de confirmations et de développements, sur les données qui se trouvent dans la littérature arabo-islamique de Maîtres relativement contemporains. Elle est, en définitive, tout-à-fait cohérente (si ce n’est, sur bien des points, identique) avec celle que nous avons trouvé, assez récemment, exposée depuis plus de six siècles par le Cheikh Ibn ‘Abbâd er-Rundî (radiy-Allah ‘anhu3 :

« Le guide d’éducation spirituelle (tarbiyah) est difficile à trouver de nos jours et « plus précieux que le soufre rouge». Il en va de même du guide d’instruction spirituelle (ta’lîm) ; car beaucoup de ceux qu’on affilie à cette Voie– que l’on recommande et auxquels on fait confiance – ne rendent, en vérité, pas compte de la signification véritable du taçawwuf, pas plus qu’ils ne mettent en contact les gens avec la Vérité Initiatique et encore moins avec ce qui est au-delà.* Je ne sais pas laquelle de ces deux calamités est la plus grande : la disparition des guides spirituels à la compréhension profonde, ou le manque de disciples sincères.** Mais nous appartenons à Dieu et à Lui nous retournons. »

1° juin 2013 – V11

* Les propos de l’auteur sont directs et sans concession, ce qui est intellectuellement normal et nécessaire, en effet, quand il s’agit, pour un Maître de son envergure, de décrire l’état du Taçawwuf ; et l’on comprend aisément qu’ils aient pu produire quelques remous, à une époque évidemment bien plus riche spirituellement que de nos jours et dans laquelle ceux qui pouvaient être considérés facilement comme des maîtres d’éducation spirituelle ou prétendre en faire partie étaient certainement beaucoup plus nombreux qu’à notre époque. Mais on pourrait poser à ce sujet, comme au sujet des propos comparables de bien d’autres autorités de la Voie, une même question : comment se fait-il, quand il s’agit toujours de décrire l’état du Taçawwuf en un temps donné, que, plus de six siècles plus tard, il semble qu’ils ne soient pas davantage connus et reconnus par bien des responsables de turûq régulières et pratiquement pas diffusés auprès des candidats au rattachement et à la recherche d’un pacte initiatique auprès d’un Maître éducateur (Cheikh tarbiyyah) ?

** Voir à ce sujet Raréfaction des Maîtres ou des disciples ?

« Maintenant la question se pose : comment s’y prend une personne qui souhaite avancer dans la Voie dans ces circonstances ? S’occupe-t-elle à la quête du guide spirituel ? Ou est-ce qu’elle abandonne la recherche et attend simplement ? Et dans l’une ou l’autre de ces situations, s’engage-t-elle en même temps dans les pratiques des aspirants ou pas ? »

Ces questions datent de plus de six siècles mais nous ne connaissons pas, à cette heure, de Maître qui les ait publiquement posées de manière aussi directe.

Or, n’est-ce pas bien ce genre d’interrogations que se pose, ou que devrait se poser, tout prétendant intelligent, sincère et honnête à un moment ou à un autre lorsqu’il envisage de s’engager dans la Voie :

  • Doit-on considérer comme une nécessité absolue de chercher un Cheikh capable d’assurer un enseignement initiatique spécifique avant quoi que ce soit d’autre dans la Voie ?
  • Devant la pression et le conditionnement que présente si souvent le milieu que l’on envisage d’intégrer, doit-on refuser la réalité que constitue pourtant la transmission de la barakah sous prétexte que rien de régulier et d’effectif ne serait envisageable, absolument et de tout temps, dans la Voie sans l’aide d’un Maître éducateur corporellement accessible ?
  • Devant cette pression et ce conditionnement, doit-on accepter comme Maître éducateur quelqu’un qui ne l’est pas (même si la personne en question peut régulièrement assurer la transmission de la barakah et des moyens initiatiques réguliers qui sont véhiculés au sein de sa Tarîqah) ?
  • Doit-on nécessairement considérer celui qui assure une telle transmission comme « cheikh kâmil« , que celui-ci affirme une telle prétention ou qu’il affirme n’avoir aucune prétention en ce domaine ?
  • Doit-on tomber dans un pur attentisme passif ?
  • Comment adopter une situation et un comportement réellement initiatiques sans Maître corporellement vivant ?
  • Que peut-on attendre d’un rattachement dans ces conditions ?

« Pour moi, il est inutile de rechercher le guide spirituel, que l’on soit ou non engagé dans la pratique active du taçawwuf. »

On est bien loin de la position présentée comme unique et absolument incontournable qui, classiquement, affirme que le Chaytân est le Maître de celui qui n’a pas de Maître.

« Le guide spirituel est un don de Dieu Très-Haut. C’est Sa façon de diriger le serviteur désireux qui a tourné toute son attention dans le cheminement, qui ne s’épargne aucun effort et utilise toutes ses possibilités, qu’il soit grand ou humble. C’est comme cela que Dieu Très-Haut guide cette personne vers un état meilleur [plus excellent] ; à l’abri de l’innovation et de l’erreur, où l’aspirant est préservé des pièges qui attendent tous ceux qui se reposent sur la sollicitude et le contrôle du guide spirituel comme protection contre les tribulations passées et futures. »

Le Cheikh Ibn Abbâd, présente donc la perspective entière du sulûk dans le respect le plus pur du Coran et de la Sunnah, c’est-à-dire à partir et en réponse concordante à l’orientation, la détermination et l’engagement purs de celui qui cherche uniquement la Face d’Allah :

  • « Et ceux qui auront combattu pour Nous, Nous les guiderons sur Nos chemins. En vérité Allah est assurément avec ceux qui ont une pratique excellente » 4
  • «Allah a dit : « Celui qui nuit à l’un de Mes Saints, Je lui déclare la guerre. Mon serviteur ne s’approche pas de Moi par une chose que J’aime, comme Il le fait avec ce que Je lui ai prescrit. Et Mon serviteur ne cessera de s’approcher de Moi par les actes surérogatoires jusqu’à ce que Je l’aime. Puis, lorsque Je l’aime, Je suis son ouïe avec laquelle il entend, sa vue avec laquelle il voit, sa main avec laquelle il saisit et son pied avec lequel il marche. » 5.

« Il est tout aussi inutile de ne faire qu’attendre le guide spirituel en reportant la pratique active du taçawwuf, c’est un gâchis stérile et un comportement inadéquat. »

René Guénon s’est exprimé de manière très insistante sur le caractère nécessairement actif de l’initiation, principalement pour différencier celle-ci de la mystique en tant que telle mais aussi pour mettre en garde contre toute tendance passive qui pourrait se développer au sein de certaines organisations initiatiques du fait de la dégénérescence cyclique ; on voit encore ici qu’il n’est pas le seul à affirmer de telles choses. 6

« Il ne reste que la quatrième option : s’impliquer dans l’activité initiatique tout en attendant le guide spirituel. »

L’auteur vient en effet de rejeter les trois précédentes :

  • Recherche d’un guide spirituel sans être engagé dans la pratique du Taçawwuf : c’est la position de celui qui cherche un Maître éducateur en dehors même de tout rattachement ou qui, tout en ayant acquis un rattachement, ne pratique rien de ce qu’il permet
  • Recherche d’un guide spirituel en étant engagé dans la pratique active du Taçawwuf : c’est la position de celui qui, ayant obtenu un rattachement tabarrukan, s’applique à mettre en œuvre ce qui peut l’être tout en recherchant de manière active un Maître éducateur
  • Absence de recherche d’un guide spirituel en reportant la pratique active du taçawwuf : c’est la position la plus passive et extérieure possible.

Il retient celle qui implique le rattachement et la mise en œuvre de ce qui peut l’être dans ce cadre général, c’est-à-dire, finalement l’adoption d’une attitude véritablement initiatique à la fois dans sa nature (car rien n’est initiatique sans transmission de la barakah) et dans les faits (recherche d’opérativité avec les moyens réguliers dont on dispose), considérant que la recherche du Maître n’est pas de son ressort.

« L’aspirant peut atteindre cet objectif par la purification de son intention en étant vigilant vis-à-vis de la sincérité de sa relation avec Dieu Très-Haut. Quiconque aspire à la présence de Dieu doit être d’une sincérité totale, car Dieu est avec ceux qui sont véridiques. La sincérité consiste à exiger de son âme et la discipliner pour atteindre l’état de piété requis dans le taçawwuf. Cela inclut la prière personnelle, l’intention du cœur à la porte du Maitre, un état d’esprit positif, un espoir véritable, et d’entrer dans la présence de Dieu Très-Haut avec crainte, respect et humilité. Si quelqu’un s’auto-discipline et conduit son âme en conformité avec ces points, il devrait demander à Dieu Très-Haut de remplir Ses promesses, et il arrivera au but qu’il recherche. »

C’est donc la sincérité de l’orientation et de la relation avec Allah qu’Ibn ‘Abbâd donne comme garanties nécessaires au murîd qui cherche la Face de son Seigneur sans trouver de Maître pour l’éduquer.

Comme c’est toujours le cas dans les situations de nécessité, on revient ainsi à l’essentiel. Le Cheikh Ibn ‘Abbâd  exprime ainsi qu’est l’essence même du pacte initiatique et qui garantit tout ce qui peut être envisagé efficacement dans son cadre. Ce sont la pureté de l’orientation de l’être vers son Seigneur, l’élévation de son aspiration, la puissance et la détermination de son engagement dans la Voie ainsi que la mise en oeuvre entière, active et inconditionnée de ce qui lui est régulièrement accessible (« alladhîn jâhadû fî-Nâ« ) qui sont à l’origine de toutes les « réactions concordantes » qui pourront se produire ultérieurement de la part d’Allah subhâna-Hu wa Ta’âlâ (« lanahdiyanna-hum subula-Nâ inn-Allah la-ma’a-l-muhsinîn ») ; et même si cette réalité apparaît ici plus évidente dans son exposition dépouillée et comme centrée sur l’être concerné, elle ne peut logiquement être radicalement différente dans les situations optimales où le Maître éducateur est corporellement présent et accessible, à moins d’inverser les rapports hiérarchiques normaux entre ce qui est impersonnel et ce qui est personnel. C’est la raison pour laquelle on peut considérer qu’il est finalement injustifié de conditionner la mise en œuvre des moyens rituels qui sont à sa disposition au degré de réalisation d’un représentant autorisé et régulier de la silsilah qui serait transmetteur régulier d’une méthode initiatique instaurée comme telle et à cet effet par un Cheikh de réalisation.

« Celui qui cherche la guidée doit comprendre que le statut d’initié est un don que Dieu Très-Haut accorde, du fait de Sa prédilection soucieuse pour certains de Ses serviteurs. »

« Conformément à l’enseignement des Maîtres de la Voie : «El ‘ahd, ‘ahd Allah», «le Pacte initiatique est le Pacte d’Allah» ; or, quel que soit le domaine dans lequel il s’effectue, tout pacte implique une réciprocité.

 Si le rattachement consiste essentiellement à recevoir l’influence spirituelle transmise au sein de la Tarîqah, il doit être entendu qu’il consiste donc aussi, en des termes plus développés qui mettent en évidence l’aspect réciproque du Pacte en question, à prendre l’engagement au moins implicite envers Allah, Source essentielle et unique de la barakah transmise de Sa Part et sous Son Autorisation (idhn), de mettre en œuvre réciproquement cette influence pour la Connaissance de Sa Face et selon les moyens qu’Il met à la disposition du faqîr dans ce cadre ; ce dépôt, une fois reçu, est définitivement acquis, Allah –subhâna-Hu wa Ta’âlâ– «ne changeant pas Sa Parole», c’est-à-dire Son Pacte, dans le cas présent.

 Ainsi conçu dans une perspective de recherche d’initiation effective, le rattachement à une organisation initiatique régulière (Tarîqah), même lorsqu’il s’effectue sans autre engagement que celui qui est rappelé ci-dessus (généralement appelé tabarrukan) n’est pas un acte unilatéral et sans conséquence ni implication pour celui le reçoit. » 7

« Il n’ouvre Sa porte et ne lève le voile qu’à celui qui est véritablement sincère en sa dépendance à Lui et s’est résolument abandonné à Lui. Ceux-là sont alors distincts de leurs frères humains et n’ont aucun désir de partager avec eux leur état et demeures. Comme l’ont dit les maitres : «Les Soufis sont des gens d’une demeure singulière (unique), l’étranger ne s’y introduit pas». Il en est ainsi car lorsque Dieu veut que certaines de Ses créatures Lui appartiennent –c’est-à-dire, qu’elles n’existent qu’en Lui de manière absolue- Il projette la foi dans leur cœur et l’y inscrit, et la soutient d’un esprit venant de Lui. »

Ces précisions soulignent le caractère parfaitement entier et sans mélange que revêt nécessairement l’engagement dans la Voie dans une perspective de tawhîd réel.

« Tout cela survient sans aucune initiative ou mérite de leur part. Ainsi, quand Dieu leur accorde ce don et les en avertit, Il leur ouvre la porte du refuge et de la dépendance en Lui. En retour, ses créatures se voient impuissantes, presque incapables de quoi que ce soit, et n’exister qu’à la limite de l’indigence et la faiblesse. »

Sur tous ces aspects, voir notamment :

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ARTICLE THÉMATIQUE correspondant

LE RATTACHEMENT A LA VOIE : AVANT, PENDANT, APRES

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  1. On parle alors de idhn ‘âmm qui concerne l’ensemble des initiés d’une même tarîqah en dehors de toute considération personnelle qui nécessiterait un idhn khâç []
  2. En ce qui concerne Le Porteur de Savoir, voir à ce sujet les articles traitant de la transmission et de l’enseignement initiatiques d’Olivier Courmes et de Maurice Le Baot. []
  3. Traduction collective provisoire []
  4. Coran, L’araîgnée, 69 []
  5. Hadîth du taqarrub il-Allah []
  6. Cf. également notre présentation du Propos général sur le Soufisme de Cheikh Mohammed Zakî ed-Dîn et La crise sectaire du monde des « guénoniens » d’Olivier Courmes (notamment p. 8). []
  7. Premiers paragraphes des Conditions générales concernant le rattachement et la participation à la branche française de la Tarîqah Mohammediyah Châdhiliyah []

par le 17 décembre 2012, mis à jour le 11 juillet 2015

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