48 – Quelle est la véritable nature de l’influence véhiculée par un avatar hindou « tombé d’au-delà des nuages » dans les années 80 ? – (M.A.S.) …

… et que pourrait apporter cette influence comme bénéfice à l’Islam qu’il ne détienne déjà régulièrement depuis plus de 14 siècles ?

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« Ce qui est assez digne de remarque, c’est que certaines de ces erreurs [concernant l’initiation] ne sont pas seulement le fait de profanes ou de pseudo-initiés, ce qui n’aurait en somme rien d’extraordinaire, mais aussi de membres d’organisations authentiquement initiatiques, et parmi lesquels il en est même qui sont regardés comme des « lumières » dans leur milieu, ce qui est peut-être une des preuves les plus frappantes de cet actuel état de dégénérescence auquel nous faisions allusion tout à l’heure. À ce propos, nous pensons pouvoir exprimer, sans trop risquer qu’il soit mal interprété, le souhait que, parmi les représentants de ces organisations, il s’en trouve tout au moins quelques-uns à qui les considérations que nous exposons contribueront à rendre la conscience de ce qu’est véritablement l’initiation »(René Guénon – Aperçus sur l’Initiation – Avant-propos – 1946)

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Parmi la multiplicité des pratiques et comportements initiatiques plus ou moins déviants qui se présentent chaque jour devant ceux et celles qui ont une aspiration sincère à suivre une voie spirituelle effective (sulûk) en Islam nous avons choisi d’insister un peu sur une modalité qui semble prendre un certain essor ces derniers temps, même si elle puise, en réalité, ses racines dans des mouvements relativement anciens, plus ou moins emprunts des influences de la mouvance New Age.

Suite à certaines réactions que nous jugions négatives nous avions préféré supprimer des parties importantes de nos récents articles sur ces sujets. Des témoignages spontanés de milieux très divers (musulman et non-musulman) qui montrent à quel point nos articles sont justifiés et pertinents, nous font maintenant revenir sur cette décision, voire envisager d’amplifier notre action en ce sens si cela s’avérait nécessaire, bi-hawli-Llah wa quwwati-H

Nous proposons donc fraternellement à toute personne concernée par ce que nous décrivons ici de simplement prendre conscience du caractère anormal de sa situation et de revenir avec élégance et noblesse à une position régulière, in châ Allah.

Pour l’instant, nous appelons toute personne sincère et responsable à se manifester positivement in châ Allah avant que davantage de personnes ne pâtissent de tels errements

Hasbun-Allah wa ni’ma-l-Wakîl

Ni’ma-l-Mawlâ wa ni’ma-n-Naçîr

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  • « … dans tout ce qui se rapporte à l’initiation, il n’y a en réalité rien de vague ni de nébuleux, mais au contraire des choses très précises et très « positives » »1
  • « L’initiation, en effet, n’est pas comme les réalisations mystiques, quelque chose qui tombe d’au-delà des nuages, si l’on peut dire, sans qu’on sache comment ni pourquoi ; elle repose au contraire sur des lois scientifiques positives et sur des règles techniques rigoureuses ; on ne saurait trop insister là-dessus, chaque fois que l’occasion s’en présente, pour écarter toute possibilité de malentendu sur sa véritable nature » 2 .
  •  » (…) une organisation initiatique ne peut valablement incorporer à ses rites des éléments empruntés à des formes traditionnelles autres que celle suivant laquelle elle est régulièrement constituée (1) ; de tels éléments, dont l’adoption aurait un caractère tout artificiel, ne représenteraient que de simples fantaisies superfétatoires, sans aucune efficacité au point de vue initiatique, et qui par conséquent n’ajouteraient absolument rien de réel, mais dont la présence ne pourrait même être, en raison même de leur hétérogénéité, qu’une cause de trouble et de désharmonie ; le danger de tels mélanges est du reste loin d’être limité au seul domaine initiatique, et c’est là un point important pour mériter d’être traité à part. Les lois qui président au maniement des influences spirituelles sont d’ailleurs chose trop complexe et trop délicate pour que ceux qui n’en ont pas une connaissance suffisante puissent se permettre impunément d’en apporter des modifications plus ou moins arbitraires à des formes rituéliques où tout a sa raison d’être, et dont la portée exacte risque fort de leur échapper » 4
  • René Guénon insiste dans son œuvre publique sur une caractéristique principale des pseudos-religions et des mouvements sectaires : ils naissent en quelque sorte « ex-nihilo », c’est-à-dire à partir d’une personne qui ne peut mettre en évidence un réel héritage spirituel ni une investiture fonctionnelle régulière d’origine supra-humaine :

16 août 2015 – V6

« une organisation initiatique ne saurait être le produit d’une fantaisie individuelle ; elle ne peut être fondée, à la façon d’une association profane, sur l’initiative de quelques personnes qui décident de se réunir en adoptant des formes quelconques ; et, même si ces formes ne sont pas inventées de toutes pièces, mais empruntées à des rites réellement traditionnels dont les fondateurs auraient eu quelque connaissance par « érudition », elles n’en seront pas plus valables pour cela, car, à défaut de filiation régulière, la transmission de l’influence spirituelle est impossible et inexistante, si bien que, en pareil cas, on n’a affaire qu’à une vulgaire contrefaçon de l’initiation. » (…)

Ce qui résulte clairement de tout cela, c’est la nullité des initiatives individuelles quant à la constitution des organisations initiatiques, soit en ce qui concerne leur origine même, soit sous le rapport des formes qu’elles revêtent ; et l’on peut remarquer à ce propos que, en fait, il n’existe pas de formes rituéliques traditionnelles auxquelles on puisse assigner comme auteurs des individus déterminés. Il est facile de comprendre qu’il en soit ainsi, si l’on réfléchit que le but essentiel et final de l’initiation dépasse le domaine de l’individualité et ses possibilités particulières, ce qui serait impossible si l’on en était réduit à des moyens d’ordre purement humain ; de cette simple remarque, et sans même aller au fond des choses, on peut donc conclure immédiatement qu’il y faut la présence d’un élément « non-humain », et tel est bien en effet le caractère de l’influence spirituelle dont la transmission constitue l’initiation proprement dite. » (René Guénon – Aperçus sur L’Initiation – De la régularité initiatique)

  • Les chaînes de transmission qui existent au sein du Taçawwuf sont suffisamment nombreuses et actives pour assurer efficacement leurs fonctions depuis le début de l’Islam. Les exemples de « réactivations » ou de « revivifications », bien que relativement exceptionnelles par nature, sont également une réalité reconnue au sein des turûq qui en ont bénéficié régulièrement au cours du temps, selon une sagesse providentielle.
  • Mais nous n’avons personnellement pas connaissance qu’elles se soient jamais opérées en dehors d’une forme islamique ni à partir d’une forme non-islamique (hindoue, par exemple).
  • Nous n’avons pas connaissance qu’elles se soient jamais régulièrement opérées non plus à partir d’une forme non-islamique qui prétendrait, par la transmission d’une influence présentée comme étant d’origine divine (diksha3, permettre non seulement aux chrétiens d’être de meilleurs chrétiens et aux musulmans d’être de meilleurs musulmans mais aussi à l’humanité tout entière de s’ « illuminer », pour accéder à l’ « Éveil » ; comme si, en ce qui concerne au moins les musulmans, il n’existait pas un Taçawwuf permettant une réalisation spirituelle intégrale ou que les musulmans rattachés à une Voie initiatique devaient nécessairement passer par cette étape de régénération 4 pour espérer progresser dans leur sulûk 5 .
  • Quant aux apports initiatiques qui pourraient éventuellement se faire de manière régulière à partir de formes traditionnelles différentes, nous ne pouvons personnellement en dire autre chose que ce que nous avons exprimé récemment. Quoi qu’il en soit, il reste à la charge de ceux qui prétendent opérer en ce domaine d’apporter les garanties nécessaires qui assureraient la régularité de leurs agissements et qui permettraient ainsi que l’on préconise à leur égard autre chose qu’une extrême méfiance ; sous ce rapport, on voit difficilement qu’un contexte fortement marqué, notamment, du culte de la personnalité et de phénoménologie, constitue un indice réellement favorable, surtout si, de surcroit, ceux qui se font les « promoteurs » du développement de telles transmissions au sein du Taçawwuf adoptaient eux-mêmes un comportement qui, sur le plan personnel, outrepasserait les règles traditionnelles minimales.

*

Nous ne manquerons donc pas de suivre ces aspects autant qu’il nous semblera utile de le faire, in châ Allah

Post scriptum

Il vient d’être formellement confirmé (peu importe si nos articles ont quelque responsabilité dans cette coïncidence) que l’un des « fidèles » de celui qui prétend être un avatar hindou est finalement devenu musulman, wa-l-hamdu li-Llah Rabbi-l-‘âlamîn ! L’ « Islam effaçant ce qui le précède« , nous espérons le meilleur pour lui-même et ses proches, nos critiques n’ayant rien de personnel.

C’est d’ailleurs pour la même raison (nos critiques n’ayant rien de personnel) que nous maintenons pour l’instant nos réserves  sur le fond, c’est-à-dire ce qui sera maintenu ou pas de ses pratiques antérieures au sein de l’Islam à l’avenir, en espérant qu’une certaine clarification, qui a visiblement commencé sous plus d’un rapport (depuis un passé très récent), wa-l-hamdu li-Llah, se fasse pour le bénéfice de tous, in châ Allah, dans un esprit de finesse, d’humilité et de miséricorde.

« Nos critiques n’ont rien de personnel » : nous ne sommes en effet évidemment pas seuls à avoir émis, depuis fort longtemps parfois (c’est-à-dire environ un quart de siècle), et à émettre encore des critiques sur ces pratiques 6. De plus, ceux à qui elles peuvent s’appliquer plus ou moins pleinement ne sont évidemment pas des cas uniques 7.

Mais quelle que soit la situation réelle de chacun, on ne peut raisonnablement oublier que la responsabilité revient toujours et uniquement à ceux qui revendiquent le droit de mettre en œuvre des pratiques réprouvables, non pas à ceux qui soulignent leur irrégularité et leur dangerosité.

Ainsi, ceux qui n’ont réellement rien à voir avec un quelconque fatras de ce genre, peuvent-ils à juste titre se sentir bien tranquilles, hors de toute situation illégitime, et s’abstenir de toute réaction plus ou moins agressive envers quiconque, wa-l-hamdu li-Llah ; il leur suffit, puisque nos commentaires et appréciations sont parfaitement anonymes et s’ils veulent toutefois s’exprimer, de se désolidariser comme il se doit et d’affirmer simplement qu’ils ne pratiquent effectivement rien de ce qui est évoqué.

Par ailleurs, redisons encore que nous connaissons bien, comme d’autres la connaissent également puisqu’elle est constamment utilisée depuis de nombreuses années, l’attitude qui consiste à formuler des remarques qui, de manière redondante et presque techniquement répétées, prennent notamment un caractère personnel afin de détourner l’attention de l’essentiel sans rien changer sur le fond des choses. Nous ne pouvons donc que rappeler la citation de René Guénon faite ci-dessus (« on ne saurait trop insister là-dessus, chaque fois que l’occasion s’en présente ») : …

 » (…) une organisation initiatique ne peut valablement incorporer à ses rites des éléments empruntés à des formes traditionnelles autres que celle suivant laquelle elle est régulièrement constituée (1) ; de tels éléments, dont l’adoption aurait un caractère tout artificiel, ne représenteraient que de simples fantaisies superfétatoires, sans aucune efficacité au point de vue initiatique, et qui par conséquent n’ajouteraient absolument rien de réel, mais dont la présence ne pourrait même être, en raison même de leur hétérogénéité, qu’une cause de trouble et de désharmonie ; le danger de tels mélanges est du reste loin d’être limité au seul domaine initiatique, et c’est là un point important pour mériter d’être traité à part. Les lois qui président au maniement des influences spirituelles sont d’ailleurs chose trop complexe et trop délicate pour que ceux qui n’en ont pas une connaissance suffisante puissent se permettre impunément d’en apporter des modifications plus ou moins arbitraires à des formes rituéliques où tout a sa raison d’être, et dont la portée exacte risque fort de leur échapper » 4

… et répéter ce que nous avons déjà exprimé à ce sujet :

« Quant à ceux qui, visés par nos remarques, oseraient sans honte avancer quelque argument fallacieux avec l’intention plus ou moins diffuse de détourner l’attention 5 , nous leur déclarons d’emblée qu’ils peuvent bien nous injurier de la manière habituelle qui est la leur en pareille situation car nous sommes prêts à recevoir toutes les critiques personnelles, même les moins justifiées et les plus grossières, sans que cela ait la moindre influence sur nos positions de fond, in châ Allah, pour la bonne et simple raison que ce dont il est question ici n’est en rien une affaire personnelle mais concerne uniquement la régularité traditionnelle des pratiques et attitudes évoquées. Nous opposons sans crainte et patiemment les dégâts parfois irrémédiables causés par leurs agissements auprès de prétendants sincères à la Voie qui leurs avaient donné leur confiance et qui, faute de connaissance ou d’expérience, se trouvent plus ou moins définitivement démunis ou détournés de ce qui est authentique, sans parler de ceux qui, suite à certaines expérimentations bien précises, errent véritablement dans on ne sait quel état psychiquement déséquilibré. Nous revenons ainsi au fond du sujet, inlassablement et tant que nécessaire in châ Allah, et suggérons à ces « responsables »

  1. non seulement (après qu’ils aient fait amende honorable)
  2. de faire en sorte que la régularité de leurs prises de positions soit dorénavant plus clairement lisible (quel que soit le « support » de communication utilisé)
  3. et qu’ils affirment publiquement et aussi clairement que possible ne plus mettre en œuvre dans leurs pratiques personnelles ou dans celles qu’ils proposent à leurs « stagiaires » des rites, exotériques ou initiatiques, qui ne seraient pas strictement islamiques 6 .

Pour le premier point, c’est évidemment à eux qu’il revient de voir, face à leur Seigneur, ce qu’il convient de faire.

Pour le second, il semble qu’un certain mieux se manifeste, wa-l-hamdu li-Llah.

Pour le troisième, les choses s’améliorent progressivement. Nous adaptons néanmoins nos remarques en conséquence, dans un esprit d’amour et d’humilité fraternels, comme promis.

hasbun-Allah wa ni’ma-l-Wakîl

*

Pour revenir maintenant, de manière tranquille et déterminée, au fond de la question posée dans le présent article, il nous faut souligner que la nature de l’influence transmise est habituellement précisée lorsque le transmetteur lui-même est en mesure d’en donner l’origine et, si c’est le cas, de préciser aussi le mode transmission qui lui est afférent, c’est-à-dire la chaîne transmission qui correspond à ce qui est transmis depuis son origine jusqu’à lui.

On peut ainsi savoir, a priori, si l’influence est d’origine supra-humaine, simplement psychique et banalement humaine ou même infra-humaine, dans le pire des cas.

N’importe qui peut valablement demander, dans le cas d’une influence d’origine supra-humaine (ce qui est bien le cas de ce que l’on appelle habituellement une influence spirituelle), quelle est la chaîne de transmission. Les questions les plus simples amenant des réponses qui le sont tout autant lorsqu’on se trouve dans un cadre initiatique régulier, c’est généralement le transmetteur qui expose lui-même la chaîne de transmission dont il est le dernier maillon et, ainsi, le représentant.

Mais que penser de la nature réelle d’une influence dont on ne connaît ni l’origine, ni la chaîne de transmission ?

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Un grave exemple de confusion entre psychique et spirituel – M.A.S.

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47 – Dans quelle mesure peut-on intégrer au Taçawwuf islamique des pratiques initiatiques appartenant à une autre forme traditionnelle (yoga, mantra, diksha, …) ?

49 – Comment sortir d’une situation présentant des tendances sectaires ?

Le « New Age » dans l’œuvre de René Guénon – O.C.

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  1. René Guénon, Aperçus sur l’Initiation []
  2. René Guénon, Aperçus sur l’Initiation, Des rites initiatiques, p. 111 []
  3. Pour ceux qui, comme nous,  éprouveraient une certaine difficulté à comprendre ce que recouvre exactement le terme diksha (ou deeksha), tantôt décrit comme une initiation, une transmission d’énergie (« divine energy », énergie cosmique) ou d’influence spirituelle et un équivalent du tawajjuh (selon la présentation qu’en fait un « transmetteur » de diksha musulman), nous indiquons la référence de ce site sur lequel on peut trouver un certain nombre de précisions significatives émanant des promoteurs français eux-mêmes et concernant, notamment, l’origine, la mise en pratique et les objectifs annoncés de ce qu’ils nomment le « phénomène » : Oneness en France –Nous  nous permettons de conseiller aux personnes intéressées (qui sont évidemment libres de faire ce qu’elles veulent en ce domaine comme en d’autres, in châ Allah, une fois que l’information leur est parvenue) de prendre le temps nécessaire pour évoluer dans ce site, au demeurant fort bien fait, à la recherche de définitions précises, à la compréhension du contenu des « divers cours » présentés pour permettre à l’humanité tout entière, toutes formes traditionnelles (« religions ») confondues,  de faire un voyage  (?) progressif jusqu’à la Délivrance (?), en 9+9+10 jours, sauf si l’on est pressé et peu disponible, pour alors suivre une voie « accélérée ». Nous conseillons de regarder avec attention les édifiantes vidéos qui sont proposées pour l’accès ultime à un « nouvel âge » de l’humanité (en anglais « new age »). Il n’y a pas de mal à s’instruire, surtout quand il s’agit d’informations de « première main » émanant de formateurs internes []
  4. Nous rappellerons dans un avenir proche la position de René Guénon sur ce point précis, in châ Allah. []
  5. Comment se fait-il, à ce propos, que les « promoteurs » français de cette tendance ne s’expriment pas clairement à ce sujet afin que les candidats musulmans à cette transmission soient parfaitement informés de ces aspects ? []
  6. Et nous ne parlons pas là de la transmission à des non-musulmans de la pratique de Noms divins islamiques, par exemple []
  7. Cf. à ce propos cette autre Tarîqah dans laquelle (selon son site officiel) on donne un Nom d’Allah ta’âlâ à pratiquer à des non-musulmans pour apprendre, après quelques temps de cette pratique, à certains d’entre eux qui expriment leur volonté de devenir musulmans qu’ils sont « déjà devenus musulmans » ; qu’en est-il des autres, qui continuent à ne rien mettre en œuvre des obligations islamiques générales tout en étant certainement persuadés de détenir et de mettre en oeuvre quelque chose d’aussi efficace et bénéfique que régulier ? 25 – Est-il envisageable d’être rattaché à une tarîqah alors que l’on n’est pas musulman ? []

par le 14 juillet 2015, mis à jour le 30 septembre 2015

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